Samedi 23 août 2025, 9h05 – Lompret (Chimay)

Il y a des courses qui marquent. Le Trail de l’Eau Blanche, c’est l’une d’elles. 31,69 km, 705 m de dénivelé positif, un parcours exigeant mais somptueux, et une organisation tout simplement irréprochable. Trois heures et demie d’effort, de partage, et de plaisir… sans chute !

Un départ matinal… et des encouragements précieux

Je suis arrivé à Lompret en voiture avec Stéphane-César et son fils Yaël Daye. Stéphane, blessé, n’a pas pu courir cette année, mais Yaël a pris le relais sur le 22 km pendant que je m’élançais sur le 31 km. Le départ était donné plus tôt pour ma distance, ce qui m’a permis de recevoir leurs encouragements avant de m’élancer.

Un parcours exigeant… et des moments de doute

Le tracé, labellisé Betrail, offre 88 % de sentiers offroad, avec de longues portions en autonomie entre les ravitaillements. J’ai connu des moments difficiles, notamment autour du 15e kilomètre, où j’ai dû marcher plusieurs minutes pour m’économiser. Mais l’environnement naturel, entre roches calcaires et massifs boisés, m’a aidé à tenir bon.

Des rencontres qui boostent… et un final en remontée

Au second ravitaillement, un jeune garçon prénommé Eliott m’a encouragé. Ce simple geste m’a redonné de l’énergie. J’ai alors remonté plusieurs concurrents, et même échangé avec un coureur français du club des Potes O’Maltés, originaire de ma commune. Un vrai moment de partage, comme on les aime en trail.

Une arrivée retrouvée… et une pause bien méritée

Malgré les nombreux participants (942 finishers sur l’ensemble des distances ), j’ai retrouvé Stéphane et Yaël à l’arrivée. On a ensuite partagé un moment convivial dans un centre commercial à proximité de Chimay, où j’ai découvert les spécialités de l’enseigne O’Tacos. Pendant ce temps, Hannah était gardée par ma sœur Cynthia, ce qui m’a permis de profiter pleinement de cette journée sportive.

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